No Land, Reymour
création costumes
artistes : Lou Savary, Luc Bersier
photographie : Sacha Vernaeve
asisstant et accompagnement : Manuel Sajn
direction artistique : Sharlotta Seeligmüller
2024
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la machinerie des airs
création costumes
une création de Roxane Rajic
céramiques et performance : Roxane Rajic
soudure : An Malin, Clara Van Der Belen, Salomé Sperling
création sonore : Maori Thienot et Lola Nogue
matériel sonore : Clarice Calvo-Pinsolle et Léa Emily
accompagnement : Emma Laroche
une installation composée de sculptures-machines, d'instruments sonores et d'objets articulés - marionnettes en céramique
@roxanerajic
“Comment prendre soin des corps tout en questionnant notre rapport sensible aux technologies ? Par le langage du souffle, de l’eau, des sifflements, des frottements et des résonances, j’exprime les bouleversements que je vis individuellement et collectivement face à la croissance technologique. L’activation des sculptures met en place la fiction "des Airs" ; un conte sonore abordant la transmission technologique à travers différentes époques. Merci à Caroline Andrin, Anaïs Sandra Carion et toute l'équipe de La Cambre d'avoir permis à ce que ce projet de diplôme puisse être exposé au MAD.”
2024
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chimea
création costumes
une création d’Amalia Jaulin et Clarice Calvo-Pinsolle
performance inspirée du lamina: les laminaks sont des créatures mythiques issues de la culture du pays basque, des créatures dépourvues de genre, mi humain mi animal, créatures nocturnes, elles vivent sous terre, dans des grottes, près de nappes phréatiques ou dans des forêts profondes, toujours près de l’eau - l’éveil du carillon confectionné par @amajln et @laminalalamina est un rituel autour de ce folklore, imaginé comme un écosystème qui réunit l’eau, le son, le mouvement et la lumière
en quelques mots la fabrication des vêtements joue sur les motifs de la mythologie et du rituel laminak: superpositions, transparences, teintures naturelles, textures animales ; ils ont été imaginés en formes fluides comme par exemple celle du pantalon de pêcheur, avec des déchirures et des nouages en lanières de cotons pour brider la jupe tribale ou tresser les cheveux
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photographies @picaaa_a
2024
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billy’s joy – A HYSTORY
création costumes
a Needcompany production
authors :
text Victor Afung Lauwers
music Maarten Seghers
creators :
Jan Lauwers, Grace Ellen Barkey, Emily Hehl, Nao Albet, Gonzalo Cunill, Romy Louise Lauwers, Juan Navarro, Maarten Seghers, Meron Verbelen, Martha Gardner, Elke Janssens
production :
Koen De Saeger, Raphael Noel, Jérémy Michel, Ditten Lerooij, Sharlotta Seeligmüller, Leander Schönweger
Shakespeare has been a controversial artist for over 400 years. Sometimes he is the greatest ever, other times he is dismissed as an anti-Semitic misogynist who especially got a kick out of conceiving violent scenes. That's what Billy's Violence covered extensively. In the eighteenth century, people detested the violence and dark twists in his tragedies. Consequently, these were shamelessly rewritten. Romeo and Juliet lived happily ever after! This inspired Needcompany to ask Victor Afung Lauwers to read the comedies and see what they can still mean in our time - a time of great controversies, vulgar polemics, cancel culture, structural racism, climate change, war. What is there left to laugh at? Is humour the coward's weapon or a form of activism?
"Following Billy's Violence, which dealt with tragedies, I was asked to write a comedy based on Shakespeare's comedies. I wanted to write about 'reconciliation'. It is a central theme in the comedies. But reconciliation proved impossible without love! So, I pulled Romeo, that 'star-cross'd lover', out of his tragic story and brought him to the place of our comedy: Fairyland. Fairyland, however, turns out to be torn apart and ravaged by fragmentation. Having arrived, Romeo loses his language. Henceforth, he speaks hybrid English, or 'Globish'. He goes in search of his beloved JULIET. But JULIET has been expelled from the Symbolic Order, from the edifice of narrative itself! Still, Romeo wants to fulfil his narrative destiny by turning himself aside: he wants to turn himself aside to overcome that which separates him from JULIET in death (primarily political divisions and global warming). But... Romeo cannot kill himself because he is in a comedy! Naked and isolated, Romeo must keep looking for love until someone ends him... That someone is Bolingbroke, later Henry IV from the King's Dramas. Romeo becomes Richard II and they share each other's fate: Romeo, lovingly disowned, and Richard, lovelessly deposed.
2023
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sauvez bâtard
pré-création costume
une création de Thymios Fountas
ecriture et mise en scène : Thymios Fountas
acteurices : Alizée Gaie, Alix·ce Bisotto, Chloé Larrère, Lode Thiery et Samuel Van der Zwalmen
assistanat à la mise en scène : Anna Solomin et Astrid Akay
scénographie : Cee Füllemann
création musicale et sonore : Jan Wallyn
création lumière : Alice De Cat
diffusion : Marie-Sophie Zayas
Comment s’aimer quand l’horizon s’effondre ? ↗
Proche de la science-fiction, Sauvez Bâtard dessine les contours d’un avenir abîmé. Un monde brutal, curieusement proche du nôtre, dans lequel Thymios Fountas inscrit une fiction composite, lumineuse, portée par une langue du futur qui convoque en nous des sensations brutes. Un plaisir fulgurant à redécouvrir, nichée dans les recoins du réel, la parole souveraine des laissé·es-pour-compte. Plongeant dans un imaginaire queer, le spectacle célèbre la beauté des désirs dissidents. À l’image du personnage central, décrit au masculin mais incarné par une comédienne, toutes les figures de cette histoire naviguent dans cet entre-deux-mondes qui perfore l’horizon du théâtre. Des identités ambiguës, des corps indisciplinés et un univers sensoriel qui réveillent en nous une capacité poétique insoupçonnée, afin de nous tailler, dans la frondeuse liberté du langage, un nouveau territoire des possibles.
2023
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love after life
création costume
une proposition chorégraphique par Lou Vaillon ↗
chorégraphie et direction artistique : Lou Vaillon
assistance artistique : Garance Maillot
création sonore : Chloé George Barthod
création lumière : Henrique Pizarro
danseur.euses : Alphonse Eklou, Alice Jumelle, Ashley Martin et Hugo Lacroix
à la Raffinerie Charleroi Danse
Écosystème dans un paysage en ruine. Comment prendre place au sein d’un désastre ?Do you believe in love after life?
Un soleil gris habite le vide et la décomposition, nous utilisons l’énergie de la mutation environnementale destructrice pour la retourner en puissance Nos corps ont roulé, glissé, et traversé le monstre, à la voix aigüe, dérangeante et stridente. Nous sommes les enfants du compost, joie de la putréfaction, épanouissement multigenre et multispécifique. Une parenté qui échappe aux schèmes classiques de l’engendrement, de la filiation, de l’individuation.
L’utopie d’une zone de solidarité entre inadapté.x.e.s.
Glauque et chaleureux eh c’est pas un spectacle votre truc, c’est un film d’horreur
‘Cause we’ve had time to think it through, And maybe we’re too good for you, oh
Do you believe in love after life?
2023
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assistante sur plusieurs projets avec Needcompany
technique, scénographie et costume
Probabilities of independent events, Grace Ellen Barkey ↗
reprise des costumes créés par Lieve Van Thuyne
All the good, Jan Lawers ↗
reprise des costumes créés par Nina Lopez Legaillard
Billy’s Violence, Jan Lawers ↗
reprise des costumes créés par Nina Lopez Legaillard
2021 à aujourd’hui
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Le Silence des Ombres,
création costumes à l’opéra de la Monnaie / De Munt via l’Ecole Nationale supérieure des arts visuels de La Cambre
en collaboration avec Milena Forest et Marco Sanchis, encadrées par Veronique Leyens
direction musicale de Benjamin Attahir et mise en scène d’Olivier Lexa
la scénographie est réalisée par Clémentine Gomez Geil, Charlotte Hermant, Arnaud Mathieu, Léa Pelletier, Gabrielle Rit, étudiants de la section scénographie de l’École nationale supérieure des arts visuels de La Cambre, encadrés par Simon Siegmann
2018
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sans titre
conception et fabrication d’une redingote revisitée
sculptée sur buste
modèle : Clémentine Gomez
photographe : Sharlotta Seeligmüller
2018
